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voyage au coeur de la langue française… 15 juin 2008 je t’ai attendu classé dans : auteur — grainedemots @ 15:43 je t’ai attendu cette nuit. et en t’attendant je me suis endormie, en travers du lit, tout habillée. puis comme tu ne venais toujours pas, je me suis mise à rêver…de toi. minuit passé, toujours personne, et je tourne en rond dans les draps et fais les quatre cent coups rêvés. dans la pénombre, je t’ai entendu avancer. mais j’avais tellement attendu que je croyais rêver, rêver que délicatement tu me déshabillais, puis avec tendresse te blottissais à mes côtés, après un de tes longs baisers dont le goût est éternel. c’est exactement à cet instant que je me suis réveillée, en sueur, tout ébouriffée, le cœur battant tout détraqué, mon cœur haletant s’est arrêté, une seconde que sais-je, le temps de l’inspiration qui m’a brusquement rendu à la vie, cette inspiration où ton souffle est encore mêlé. et tout a fondu, le décor et mon corps, et ta pensée évanouie dans le silence nocturne. pourtant au loin un bruit de moteur s’éloignait. es-tu venu cette nuit, comme tu me l’avais promis, remonter la couverture sur mon menton et poser ta caresse apaisante sur mon front fiévreux ? le redoublement de cette fièvre est bien le signe de ta présence hier, mais le sommeil rend flou toutes mes pensées. céline rossello pas de commentaire -- 23 mars 2008 special hommage a d.r. classé dans : auteur , non classã© — grainedemots @ 0:36 dictionnaire de pensees discretion la discrétion et la prudence sont deux qualités que, d’après moi, les femmes recherchent dans les hommes. douleur aimer, c’est le plus souvent faire un pacte avec la douleur ? effusions les passions tendres ont des épanchements ; les passions violentes ont des effusions. ennui voilà un mal auquel le cœur et l’amour ne résistent pas longtemps. espoir l’espoir que je ressens est un baume qui peut adoucir les peines du cœur. l’espérance et la crainte contribuent à augmenter les désirs. l’espoir du plaisir contribue à vivre en rêve avec lui. froideur dans les liaisons du cœur, comme dans les saisons, les premiers froids sont les plus sensibles. est-ce vrai ? image douce image de la personne que l’on aime, elle nous suit partout, même quand elle ne s’en doute pas. et je dirais même que : la bouche, sur la bouche nous fermons les yeux ; qui voyons-nous ? c’est encore sa douce image que nous voyons. imagination l’imagination en amour enfante les plus jolis rêves. inconstance bien joli mot pour le couple marié. on blâme l’inconstance d’une femme, mais seulement quand on est victime. jalousie vérité d’après moi incontestable : la jalousie ne prouve pas l’amour, c’est un mensonge grossier mis en avant par l’égoïsme des passions. il existe de la jalousie sans amour : la vanité plus jalouse que l’affection ; enfin la jalousie c’est la mousse qui mange l’arbre. plaisir le plus grand de tous les plaisirs est d’en donner à ceux qu’on aime. en amour, les grands plaisirs touchent de près aux grandes douleurs. de tous les plaisirs des sens, l’amour est le plus vif. les plaisirs suspendent pour un instant la tristesse du cœur mais il ne la fleurisse pas. le plaisir est en principe pour une femme ce que le soleil est pour les fleurs : il les colore, les embellit ; mais trop ardent, il les dessèche et les consume. les femmes sont les seules aptes à bien sentir la différence qu’il y a entre savourer les avant-coureurs du plaisir et jouir du bonheur. sagacite les femmes ont un tact exquis pour découvrir les différents caractères des hommes, les nuances qui les distinguent ne leur échappent pas. tendresse c’est si beau, si bien, si doux ; petite chose si heureuse qu’elle excuserait à elle seule les erreurs, les désordres de l’amour. commentaires fermés -- 14 février 2008 index de référencement gratuit classé dans : non classã© — grainedemots @ 20:56 http://www.index-thematique.net pas de commentaire -- bonne fête à tous les amoureux et merci à lunastick du 93 classé dans : auteur — grainedemots @ 19:56 si tu veux te faire plaisir, il faut combler mes désirs, sur ma peau il n’y a rien que de l’amour, tu seras femme rien que pour le reste mais surtout ne crie pas au secours alors qu’on commence à faire l’amour si on est sûr et qu’on a tous nos atouts après tout, c’est tout, le lendemain on se retrouve après tout c’est prouvé, on a fait le bon geste et juste. de l’amour on en a reçu en héritage, on en a vu tomber des pluies d’orages, juste avant de poser nos bagages. juste un peu plus d’amour, pour un peu moins d’hiver. je veux vivre de cela, de cet amour-là qui grandit à chaque fois, j’ai envie de toi. de ces choses que t’as et que d’autres n’ont pas, par exemple ce charme qui anime ton âme. mais surtout ne crie pas au secours pendant qu’on fait l’amour quand je te tiens dans mes bras c’est si bon de le recommencer pas de commentaire -- 17 avril 2007 amnésie 2 classé dans : auteur — grainedemots @ 23:12 pourquoi m’as-tu fait cela ? d’ailleurs, que m’as-tu fait ? je ne m’en souviens plus. tu m’as emmené dans cette ville, si belle, si rayonnante, dans le quartier de la gare, tu m’as emmené dans un bar. où était-ce ? je ne sais plus. tu m’as présenté à quelqu’un, à plusieurs personnes, tu m’as emmené dans une chambre, près du quartier de la gare. où était-ce ? je ne sais plus. combien de jours dans cette ville ? combien de nuits dans cette chambre ? que m’as-tu fait ? qu’as-tu fait de ma mémoire ? puis nous sommes repartis. quand sommes-nous repartis ? vers où ? je ne sais plus. et tu as disparu dans la foule des gens inconnus. ce que je sais de tout cela, c’est que je ne me souviens plus. pas de commentaire -- 20 septembre 2008 ecrire pour dire classé dans : auteur — grainedemots @ 17:31 normal 0 21 false false false fr x-none x-none -- -- /* style definitions */ table.msonormaltable {mso-style-name: »tableau normal »; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-priority:99; mso-style-qformat:yes; mso-style-parent: »"; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin-top:0cm; mso-para-margin-right:0cm; mso-para-margin-bottom:10.0pt; mso-para-margin-left:0cm; line-height:115%; mso-pagination:widow-orphan; font-size:11.0pt; font-family: »calibri », »sans-serif »; mso-ascii-font-family:calibri; mso-ascii-theme-font:minor-latin; mso-hansi-font-family:calibri; mso-hansi-theme-font:minor-latin;} -- ecrire pour dire mais sans parler, pour rire et oser l’onirique vérité. au fond de l’image, un miroir insensé, incontournable ; réalité de la matière. et la pensée ?… où se cache-t-elle ? où nous mène-t-elle ? ecrire pour faire semblant mais sans mentir, pour émouvoir et croire en l’ame-espoir. au bout des rimes, un grimoire où déverser ses heures noires, et fuir l’engrenage. ecrire et endurer, nager en surface et enfin plonger dans l’autre durée. ecrire pour découvrir la création et ses millions de millions de papillons qui flânent et planent dans nos vertes campagnes… loin du vacarme urbain …si loin, si bien, là où rien ne se fane ni les amours, ni les fleurs de l’innocence. musique des mots, des sons multicolores qui grisent nos cœurs « menthe à l’eau » ecrire pour inventer de nouvelles simplicités et métisser l’etrange. pas de commentaire -- ode à matou classé dans : auteur — grainedemots @ 17:06 ô matou mon cher matou tu ne dis rien mais je vois tes yeux sourire comme la caresse du vent sur tes poils ou mes cheveux et cela me fait rire un peu. ô matou matou tout doux tu ne dis rien mais j’entends tes moustaches fremir comme les petales de rose belles, fragiles et si delicates et cela m’emeut beaucoup. ô matou de tous les jours peut-être un jour tu me diras un peu, beaucoup de tes histoires de rendez-vous comme ces etoiles qui racontent un peu partout que ton cœur est de braise et ta voix une riviere de mots d’amour. ô matou m’as-tu tant dit et je ne veux pas savoir tout ô matou m’as-tu tout dit quand demain no